L’initiative 2018 ayant été fort appréciée, pour la deuxième année consécutive, le Secours Catholique Bezons a proposé un couscous solidaire ce mardi 28 avril  midi.

84 personnes, enfants (7) et adultes (77), jeunes et seniors, conseillers municipaux et paroissiens, athées, musulmans et chrétiens de toutes nationalités ont été heureux de partager et vivre ensemble ce repas, «pois chiches et merguez au cœur de l’œcuménisme » pour reprendre la formule de Philippe.

Grand merci à Fatima, Kheira et Karima, toutes bénévoles. Fatima, notre cuisinière et spécialiste du thé à la menthe, bien que fourbue, se dit heureuse d’avoir œuvré pour « l’Association », Karima une de nos pâtissières est ravie d’avoir fait plaisir aux convives et de faire partie de l’équipe ; quant à Kheira, notre autre pâtissière, malgré ses difficultés, elle réaffirme vouloir rester à notre disposition et faire tout ce qu’elle peut pour l’association ; « c’est vrai, on est fatiguée mais le bonheur est partagé, ils ont bien mangé, se sont bien régalés, merci pour ce moment de partage» ajoute-t-elle.

Grand merci aux bénévoles qui ont participé à l’installation, au rangement de la salle ainsi qu’à la vaisselle.

Enfin grand merci à tous les participants qui n’ont pas caché leur plaisir d’être ensemble et d’échanger tout en savourant ce qui est devenu un « plat national ». « Merci au Secours Catholique pour cette belle organisation, merci aux cuisinière et pâtissières pour ce couscous excellent et copieux, pour les gâteaux délicieux et le thé à la menthe»,  c’est le témoignage écrit de Martine, une des nombreuses convives.

L’année prochaine, bénévoles et paroissiens portugais et brésiliens sont fermement décidés à nous faire découvrir et déguster leurs spécialités. Toutefois la concrétisation de ce rassemblement convivial très apprécié sera fonction de la pérennité de l’équipe de Bezons menacée de disparaître faute de local.

Bernadette GURRERA

Évangile selon Saint-Jean (14, 23-29)

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole ; mon Père l’aimera, nous viendrons vers lui et, chez lui, nous nous ferons une demeure. Celui qui ne m’aime pas ne garde pas mes paroles. Or, la parole que vous entendez n’est pas de moi : elle est du Père, qui m’a envoyé. Je vous parle ainsi, tant que je demeure avec vous ; mais le Défenseur, l’Esprit Saint que le Père enverra en mon nom, lui, vous enseignera tout, et il vous fera souvenir de tout ce que je vous ai dit.