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Paroles pour un dimanche

Paroles pour un dimanche (177)

Dixième dimanche du temps ordinaire, année B.

Gn 3,9-15 ; Ps 129,1-8 ; 2Cor 4,13—5,1 et Marc 3,20-35.

 

Jésus revint à la maison. Les foules ne le lâchent pas: les gens viennent de partout. Il ne lui est même plus possible de manger. Mais d’où vient-il ? Les deux premiers chapitres de l’Evangile de  Marc alignent des éléments qui nous aident à comprendre qu’il ne pouvait pas en être autrement. Citons par exemple son baptême dans le jourdain, avec un événement spectaculaire : le ciel qui se déchire, l’esprit qui descend comme une colombe et la voix qui se fait entendre, la proclamation de la Bonne Nouvelle en Galilée, la manifestation de son autorité dans la synagogue de Capharnaüm où il enseigne et expulse le démon qui le reconnaît comme le Saint de Dieu, les multiples guérisons (lépreux, paralysé,…). Les gens ont vu, ils ont entendu, ils sont éclairés, ils ont vécu des miracles. On comprend qu’une telle personne ne peut être lâchée.

La popularité et l’adhésion que suscitent les actes posés par le Christ déclenche et révèle la fourberie, la haine, la jalousie, la médisance, disant les vices et le « mal être » des hommes, surtout de ceux qui voient perdre leur aura : les scribes. « Il est possédé par Béelzéboul ; c’est par lui, le chef des démons, qu’il expulse les démons. » disent-ils, pour certainement détourner et décourager les personnes qui suivent Jésus ; pour le villeponder.

FÊTE DU SAINT SACREMENT DU CORPS ET DU SANG DU CHRIST

Année B.

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Ex 24,3-8 ; Ps 115 ; He 9,11-15 et Mc 14,12-16.22-26.

Vivant en esclavage en Egypte pendant quatre siècles, le peuple d’Israël n’a eu son salut que grâce à l’intervention mystérieuse de Dieu qui a fait se lever au milieu d’eux Moïse. La souffrance et la misère vécue durant quatre cents ans, la  sortie du pays d’Egypte et l’installation en Canaan ont marqué leur histoire. En souvenir de cette libération, le peuple juif célébrait chaque année sa sortie de l’Egypte. C’est la pâque juive ; un repas qui associait étroitement les convives à la libération des hébreux de l’esclavage en Egypte. Précédaient à ce repas, toutes les précautions cultuelles et spirituelles que prescrivait la loi de Moïse pour cet événement.  En mangeant la Pâque, Israël avait conscience d’être le peuple que Dieu libère aujourd’hui de la servitude.

Dt 4, 32-34.39-40 ; Ps 32; Rm 8, 14-17 et Mt 28, 16-20.

N.B La fête des mères (27 Mai 2018)

 

Moïse instruit ses compères sur la qualité de la relation qu’ils doivent avoir avec Dieu. Le Dieu qui les a choisis au milieu d’autres nations, qui les a secourus dans les épreuves, les a instruits, les a extirpés du joug de l’esclavage en Egypte.« Tu garderas les décrets et les commandements du Seigneurs que je te donne aujourd’hui, afin d’avoir, toi et tes fils, bonheur et longue vie sur la terre que te donne le Seigneur ton Dieu, tous les jours.» dit-il.

Pasteur pour son peuple, Moïse est en même temps un prophète de Dieu, de par sa mission. Prophète, il est celui qui parle au nom de Dieu, qui est porteur du message de Dieu, celui qui interprète les signes des temps pour y lire le message de Dieu. Et le conseil que Moïse donne à ses compères est un message de Dieu. Ce conseil résonne encore dans notre monde. Monde où nous mettons, si facilement, Dieu à la place d’un sapeur- pompier dont on ne se souvient que quand on a besoin de lui. Nombreux n’ont besoin de Dieu que trois fois dans leur vie : au baptême, le jour du mariage et lors de leurs obsèques. Le reste du temps, Dieu est un outil gardé dans l’atelier et dont on se servira le moment venu.

Septième dimanche du Temps Pascal / année B

Jean 17, 11b-19

 

 

Jésus nous envoie communiquer au monde l'amour qui est en Dieu. Pour y parvenir, il nous faut être unis. Ce que le Christ attend de de nous, c'est que nous puissions rassembler les hommes et les femmes autour de lui et que nous nous unissions à sa prière pour l'unité et la fidélité de ses disciples. Nous sommes invités à accueillir l'amour qui est en Dieu afin qu'il transforme notre vie. La Bonne Nouvelle de l’Évangile ne pourra être efficace et poter des fruits que s'il est proclamée par des chrétiens unis. C'est donc l'unité de ses disciples qui préoccupe le Christ au moment de passer de ce monde à son Père.
Puisse le Seigneur nous aider à travailler pour l' avènement d'un monde où règne l'unité, la paix et la fraternité véritable. 

Messe de l’Ascension-année B.

Marc 16, 15-20

 

Le texte que nous venons d’écoute en cette fête de l’ascension du Seigneur, clôture l’Evangile de Jésus Christ selon Saint Marc. C’est la finale de Marc dirons-nous en terme simple. Curieusement cette finale a le même temps que le début decet Evangile : l’Envoi en Mission.En effet le début de l’Evangile de Marc commence aussi par une mission que Dieu confie au prophète Isaïe : « Voici, j’envoie mon messager en avant de toi, pour préparer ton chemin.» Au cœur de cette mission, se trouve la question de la foi.

Vous le savez, il n’est pas rare d’entendre des questions du genre : « A quoi ça sert d’avoir la foi ? Qu’est-ce que ça change dans la vie. » L’histoire de l’Eglise, la vie de nombreux saints à travers les siècles, les nombreuses personnes qui ont repris goût à la vie grâce à Jésus-Christ, attestent et confirment que la Foi peut tout changer.

 

La Parole de Dieu de ce dimanche peut se résumer en cette petite phrase : "Aimer comme Jésus nous a aimés". Ce commandement de l'amour nous le trouvons tout au long de la Bible. Mais le livre se Actes des Apôtres, lu en ce dimanche, nous rappelle que cela ne va pas de soi même chez les chrétiens que nous sommes.

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A propos de la paroisse

La paroisse Saint-Martin de Bezons a été construite à la rue Edouard Vaillant en 1937 - 1938. Tous les fidèles, un peu plus de 400, se retrouvent à la paroisse Saint-Martin, la seule sur la Commune de Bezons. Saint-Martin de Bezons fait partie du doyenné d'Argenteuil. Le Curé de la paroisse est le Père Florent ANOI