map73 Rue Edouard Vaillant 95870 Bezons 01.39.47.67.50

J7 - Jeudi 20 mai

Thème du jour : Le don de Piété

Introduction

 

1- Chant d’accueil

Marana Tha, Marana Tha,
Marana Tha, Esprit d'amour,
Marana Tha, Marana Tha,

Esprit de feu, Esprit de Dieu.

1- Viens, Seigneur, chez nous,
Nous donner la vie,
Viens, Seigneur, chez nous,
Viens, nous t'attendons. R

2- Viens, Seigneur, en nous,
Pour changer nos vies,
Viens, Seigneur, en nous,
Viens, nous t'en prions. R

3- Viens, Esprit de Dieu,
Ravive nos âmes,
Viens, brasier ardent,
Viens, nous réchauffer. R

 

2- Texte biblique : Lettre de saint Paul Apôtre aux Romains 8,14-17 (Lecteur 1)

Frères, tous ceux qui se laissent conduire par l’Esprit de Dieu, ceux-là̀ sont fils de Dieu. L’Esprit que vous avez reçu ne fait pas de vous des esclaves, des gens qui ont encore peur ; c’est un Esprit qui fait de vous des fils ; poussés par cet Esprit, nous crions vers le Père en l’appelant : « Abba ! » C’est donc l’Esprit Saint lui-même qui affirme à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. Puisque nous sommes ses enfants, nous sommes aussi ses héritiers ; héritiers de Dieu, héritiers avec le Christ, à condition de souffrir avec lui pour être avec lui dans la gloire.

                                                                               Parole du Seigneur

 

3- Enseignement sur le don de Piété : Pape François

(Lecteur 2)

Le don de Piété touche le cœur de notre identité et de notre vie chrétienne. Il indique notre appartenance à Dieu et notre lien profond avec lui, un lien qui donne sens à toute notre vie et qui nous garde fermes, en communion avec lui, même dans les moments difficiles et d’épreuve.

Ce lien avec le Seigneur ne doit pas être compris comme un devoir ou quelque chose d’imposé. C’est un lien qui vient de dedans, une relation vécue avec le cœur : c’est notre amitié avec Dieu, qui nous est donnée par Jésus, une amitié qui change notre vie et nous remplit d’enthousiasme et de joie. C’est pourquoi le don de piété suscite en nous avant tout la gratitude et la louange.

C’est cela, en effet, le motif et le sens le plus authentique de notre culte et de notre adoration.

Quand l’Esprit-Saint nous fait percevoir la présence du Seigneur et tout son amour pour nous, il nous réchauffe le cœur et nous pousse presque naturellement à la prière et à la célébration.

La piété est donc synonyme d’un authentique esprit religieux, d’une confiance filiale en Dieu, de cette capacité à le prier avec amour et simplicité qui est propre aux personnes humbles de cœur.

Si le don de piété nous fait grandir dans la relation et la communion avec Dieu et nous pousse à vivre comme ses enfants, il nous aide en même temps à manifester cet amour aussi sur les autres et à les reconnaître comme nos frères et sœurs.

(Lecteur 3)

Et alors, oui, nous sommes mus par des sentiments de pitié - et non de pieuserie ! - à l’égard de celui qui est à côté de nous et de ceux que nous rencontrons tous les jours.

Le don de piété signifie être vraiment capable de se réjouir avec celui qui est dans la joie, de pleurer avec celui qui pleure, d’être proche de celui qui est seul ou angoissé, de corriger celui qui est dans l’erreur, de consoler celui qui est affligé, d’accueillir et de secourir celui qui est dans le besoin.

Il y a un rapport très étroit entre le don de piété et la douceur. Le don de piété que nous donne l’Esprit-Saint nous rend doux, nous rend tranquilles, patients, en paix avec Dieu, au service des autres avec douceur.

Demandons au Seigneur que le don de son Esprit puisse vaincre notre peur, nos incertitudes, notre esprit inquiet, impatient, et qu’il puisse faire de nous des témoins joyeux de Dieu et de son amour, adorant le Seigneur en vérité, également dans le service de notre prochain avec douceur et avec le sourire que l’Esprit-Saint nous donne toujours dans la joie.

Que l’Esprit-Saint nous donne à tous ce don de piété. « Normalement, ‘c’est à travers la pratique de ce qui est bon dans leurs propres traditions religieuses et en suivant les injonctions de leur conscience que les membres des autres religions répondent positivement à l’invitation de Dieu et reçoivent le salut en Jésus-Christ, même s’ils ne le reconnaissent pas comme leur Sauveur’ [27]. En effet, comme nous l’enseigne le Concile Vatican II, ‘puisque le Christ est mort pour tous et que la vocation dernière de l’homme est réellement unique, à savoir divine, nous devons tenir que l’Esprit Saint offre à tous, d’une façon que Dieu connaît, la possibilité d’être associé au mystère pascal’ (Gaudium et spes 22, 5). Cette possibilité se réalise à travers l’adhésion intime et sincère à la Vérité, le don généreux de soi au prochain, la recherche de l’Absolu suscitée par l’Esprit de Dieu. Également à travers l’application des préceptes et des pratiques conformes à la loi morale et à l’authentique sens religieux, se manifeste un rayon de la Sagesse divine. Précisément en vertu de la présence et de l’action de l’Esprit, les éléments de bien à l’intérieur des diverses religions disposent mystérieusement les cœurs à accueillir la révélation plénière de Dieu en Jésus-Christ » [28].

31Comment l’homme qui ne connaît pas le Christ peut-il alors signifier qu’il répond favorablement au projet de salut divin ? Le mystère de Dieu qui veut le salut de l’homme est inépuisable, et Jean-Paul II ne veut écarter aucune voie qui permette à l’Esprit Saint de conduire mystérieusement le cœur de l’homme au Christ unique rédempteur. En l’année 1998 consacrée à l’Esprit Saint, le Pape explique dans cette catéchèse comment l’Esprit Saint peut susciter une réponse à l’intérieur même des autres religions. Reprenant à son compte le paragraphe 29 de l’Instruction Dialogue et annonce, il affirme que les adeptes des autres religions peuvent répondre à l’offre divine en pratiquant ce qui est bon dans leur religion et en suivant ce que dicte leur conscience [29]. Il ajoute même l’adverbe « normalement » qui indique d’un point de vue concret et existentiel comment le croyant non-chrétien peut répondre à Dieu et accueillir mystérieusement le salut en Jésus-Christ. Ce développement mérite une double précision. D’une part, l’Église n’est absolument pas remise en cause comme voie ordinaire du salut, comme nous le verrons par la suite. Bien au contraire, son rôle et sa mission se trouvent renforcés par la magnificence du dessein divin. D’autre part, même s’ils ne reconnaissent pas Jésus-Christ comme leur Sauveur, ces hommes peuvent parvenir avec la grâce de Dieu au salut en Jésus-Christ, et non pas à un salut anonyme ou différent de celui qui est proposé aux chrétiens [30].

 « Normalement, ‘c’est à travers la pratique de ce qui est bon dans leurs propres traditions religieuses et en suivant les injonctions de leur conscience que les membres des autres religions répondent positivement à l’invitation de Dieu et reçoivent le salut en Jésus-Christ, même s’ils ne le reconnaissent pas comme leur Sauveur’ [27]. En effet, comme nous l’enseigne le Concile Vatican II, ‘puisque le Christ est mort pour tous et que la vocation dernière de l’homme est réellement unique, à savoir divine, nous devons tenir que l’Esprit Saint offre à tous, d’une façon que Dieu connaît, la possibilité d’être associé au mystère pascal’ (Gaudium et spes 22, 5). Cette possibilité se réalise à travers l’adhésion intime et sincère à la Vérité, le don généreux de soi au prochain, la recherche de l’Absolu suscitée par l’Esprit de Dieu. Également à travers l’application des préceptes et des pratiques conformes à la loi morale et à l’authentique sens religieux, se manifeste un rayon de la Sagesse divine. Précisément en vertu de la présence et de l’action de l’Esprit, les éléments de bien à l’intérieur des diverses religions disposent mystérieusement les cœurs à accueillir la révélation plénière de Dieu en Jésus-Christ » [28].

31Comment l’homme qui ne connaît pas le Christ peut-il alors signifier qu’il répond favorablement au projet de salut divin ? Le mystère de Dieu qui veut le salut de l’homme est inépuisable, et Jean-Paul II ne veut écarter aucune voie qui permette à l’Esprit Saint de conduire mystérieusement le cœur de l’homme au Christ unique rédempteur. En l’année 1998 consacrée à l’Esprit Saint, le Pape explique dans cette catéchèse comment l’Esprit Saint peut susciter une réponse à l’intérieur même des autres religions. Reprenant à son compte le paragraphe 29 de l’Instruction Dialogue et annonce, il affirme que les adeptes des autres religions peuvent répondre à l’offre divine en pratiquant ce qui est bon dans leur religion et en suivant ce que dicte leur conscience [29]. Il ajoute même l’adverbe « normalement » qui indique d’un point de vue concret et existentiel comment le croyant non-chrétien peut répondre à Dieu et accueillir mystérieusement le salut en Jésus-Christ. Ce développement mérite une double précision. D’une part, l’Église n’est absolument pas remise en cause comme voie ordinaire du salut, comme nous le verrons par la suite. Bien au contraire, son rôle et sa mission se trouvent renforcés par la magnificence du dessein divin. D’autre part, même s’ils ne reconnaissent pas Jésus-Christ comme leur Sauveur, ces hommes peuvent parvenir avec la grâce de Dieu au salut en Jésus-Christ, et non pas à un salut anonyme ou différent de celui qui est proposé aux chrétiens [30].

 « Normalement, ‘c’est à travers la pratique de ce qui est bon dans leurs propres traditions religieuses et en suivant les injonctions de leur conscience que les membres des autres religions répondent positivement à l’invitation de Dieu et reçoivent le salut en Jésus-Christ, même s’ils ne le reconnaissent pas comme leur Sauveur’ [27]. En effet, comme nous l’enseigne le Concile Vatican II, ‘puisque le Christ est mort pour tous et que la vocation dernière de l’homme est réellement unique, à savoir divine, nous devons tenir que l’Esprit Saint offre à tous, d’une façon que Dieu connaît, la possibilité d’être associé au mystère pascal’ (Gaudium et spes 22, 5). Cette possibilité se réalise à travers l’adhésion intime et sincère à la Vérité, le don généreux de soi au prochain, la recherche de l’Absolu suscitée par l’Esprit de Dieu. Également à travers l’application des préceptes et des pratiques conformes à la loi morale et à l’authentique sens religieux, se manifeste un rayon de la Sagesse divine. Précisément en vertu de la présence et de l’action de l’Esprit, les éléments de bien à l’intérieur des diverses religions disposent mystérieusement les cœurs à accueillir la révélation plénière de Dieu en Jésus-Christ » [28].

31Comment l’homme qui ne connaît pas le Christ peut-il alors signifier qu’il répond favorablement au projet de salut divin ? Le mystère de Dieu qui veut le salut de l’homme est inépuisable, et Jean-Paul II ne veut écarter aucune voie qui permette à l’Esprit Saint de conduire mystérieusement le cœur de l’homme au Christ unique rédempteur. En l’année 1998 consacrée à l’Esprit Saint, le Pape explique dans cette catéchèse comment l’Esprit Saint peut susciter une réponse à l’intérieur même des autres religions. Reprenant à son compte le paragraphe 29 de l’Instruction Dialogue et annonce, il affirme que les adeptes des autres religions peuvent répondre à l’offre divine en pratiquant ce qui est bon dans leur religion et en suivant ce que dicte leur conscience [29]. Il ajoute même l’adverbe « normalement » qui indique d’un point de vue concret et existentiel comment le croyant non-chrétien peut répondre à Dieu et accueillir mystérieusement le salut en Jésus-Christ. Ce développement mérite une double précision. D’une part, l’Église n’est absolument pas remise en cause comme voie ordinaire du salut, comme nous le verrons par la suite. Bien au contraire, son rôle et sa mission se trouvent renforcés par la magnificence du dessein divin. D’autre part, même s’ils ne reconnaissent pas Jésus-Christ comme leur Sauveur, ces hommes peuvent parvenir avec la grâce de Dieu au salut en Jésus-Christ, et non pas à un salut anonyme ou différent de celui qui est proposé aux chrétiens [30].

« Normalement, ‘c’est à travers la pratique de ce qui est bon dans leurs propres traditions religieuses et en suivant les injonctions de leur conscience que les membres des autres religions répondent positivement à l’invitation de Dieu et reçoivent le salut en Jésus-Christ, même s’ils ne le reconnaissent pas comme leur Sauveur’ [27]. En effet, comme nous l’enseigne le Concile Vatican II, ‘puisque le Christ est mort pour tous et que la vocation dernière de l’homme est réellement unique, à savoir divine, nous devons tenir que l’Esprit Saint offre à tous, d’une façon que Dieu connaît, la possibilité d’être associé au mystère pascal’ (Gaudium et spes 22, 5). Cette possibilité se réalise à travers l’adhésion intime et sincère à la Vérité, le don généreux de soi au prochain, la recherche de l’Absolu suscitée par l’Esprit de Dieu. Également à travers l’application des préceptes et des pratiques conformes à la loi morale et à l’authentique sens religieux, se manifeste un rayon de la Sagesse divine. Précisément en vertu de la présence et de l’action de l’Esprit, les éléments de bien à l’intérieur des diverses religions disposent mystérieusement les cœurs à accueillir la révélation plénière de Dieu en Jésus-Christ » [28].

31Comment l’homme qui ne connaît pas le Christ peut-il alors signifier qu’il répond favorablement au projet de salut divin ? Le mystère de Dieu qui veut le salut de l’homme est inépuisable, et Jean-Paul II ne veut écarter aucune voie qui permette à l’Esprit Saint de conduire mystérieusement le cœur de l’homme au Christ unique rédempteur. En l’année 1998 consacrée à l’Esprit Saint, le Pape explique dans cette catéchèse comment l’Esprit Saint peut susciter une réponse à l’intérieur même des autres religions. Reprenant à son compte le paragraphe 29 de l’Instruction Dialogue et annonce, il affirme que les adeptes des autres religions peuvent répondre à l’offre divine en pratiquant ce qui est bon dans leur religion et en suivant ce que dicte leur conscience [29]. Il ajoute même l’adverbe « normalement » qui indique d’un point de vue concret et existentiel comment le croyant non-chrétien peut répondre à Dieu et accueillir mystérieusement le salut en Jésus-Christ. Ce développement mérite une double précision. D’une part, l’Église n’est absolument pas remise en cause comme voie ordinaire du salut, comme nous le verrons par la suite. Bien au contraire, son rôle et sa mission se trouvent renforcés par la magnificence du dessein divin. D’autre part, même s’ils ne reconnaissent pas Jésus-Christ comme leur Sauveur, ces hommes peuvent parvenir avec la grâce de Dieu au salut en Jésus-Christ, et non pas à un salut anonyme ou différent de celui qui est proposé aux chrétiens [30].

 

 

4- Chant

Le grand jour s’est levé,
Dieu nous a visité :
Voici des temps nouveaux,
Chantons gloire à l’Agneau !
Nous recevons de Christ
Ce qu’il avait promis ;
Le Saint-Esprit est là.

R/ Le St-Esprit est là, (X 2)
La mort a disparu,
Dieu donne un plein salut,
Et sur le monde entier,
Le grand jour s’est levé :
Le St-Esprit est là.

L’obscurité s’enfuit,
La lumière a jailli,
Chassé des cœurs troublés
Toute incrédulité ;
Car Christ, le Roi des rois
Répand l’Esprit de foi :
Le St-Esprit est là. R

Le grand consolateur
Vient remplir tous les cœurs,
L’Esprit de vérité
Nous met en liberté ;
Il ouvre les prisons,
Répand la guérison ;
Le St-Esprit est là. R
 

R/ Le St-Esprit est là, (X 2)
La mort a disparu,
Dieu donne un plein salut,
Et sur le monde entier,
Le grand jour s’est levé :
Le St-Esprit est là.

 

5- Prières personnelles (2 minutes au plus par personne)

 

6- Chapelet à l’Esprit-Saint

  • Je crois en Dieu
  • Notre Père
  • Je vous salue Marie
  • Gloire au Père.

 

  • Sur le gros grain, nous récitons la prière :

Invocation « Envoie ton Esprit, et tout sera créé ».

Réponse : « Et tu renouvelleras la face de la terre ».

 

  • Sur chacun des 10 petits grains, nous invoquons l’Esprit-Saint :

 

Invocation : « Viens, Esprit Saint, remplis les cœurs de tes fidèles »

Réponse : « Et fais-les brûler du feu de ton amour »

 

  • A la fin du chapelet, « O Dieu, qui as instruit les cœurs de tes fidèles par la lumière du Saint Esprit, donne-nous de goûter, par ce même Esprit, ce qui est bien, et de bénéficier sans cesse de tes divines consolations. Par Jésus-Christ, Notre Seigneur. Amen »

 

7- Louange à l’Esprit-Saint (on fermera les micros et chacun participe, chante chez lui)

 

8- Courte prière à l’Esprit-Saint (Prière du Cardinal Mercier)

 

O Esprit-Saint, âme de mon âme ! Je vous aime : éclairez-moi, guidez-moi, fortifiez-moi, consolez-moi, dites-moi ce que je dois faire, donnez-moi vos ordres.

Je vous promets de me soumettre à tout ce que vous désirez de moi et d’accepter tout ce que vous permettrez qu'il m'arrive.

Faites-moi seulement connaître votre volonté.

Amen

 

9- Bénédiction finale.

 

 

 

3999

A propos de la paroisse

La paroisse Saint-Martin de Bezons a été construite à la rue Edouard Vaillant en 1937 - 1938. Tous les fidèles, un peu plus de 400, se retrouvent à la paroisse Saint-Martin, la seule sur la Commune de Bezons. Saint-Martin de Bezons fait partie du doyenné d'Argenteuil. Le Curé de la paroisse est le Père Florent ANOI