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« J’en ferai une seule nation » (Ez 37, 21-28)
Ainsi parle le Seigneur Dieu : « Je vais prendre les fils d’Israël parmi les nations où ils sont allés. Je les rassemblerai de partout et les ramènerai sur leur terre. J’en ferai une seule nation dans le pays, sur les montagnes d’Israël. Ils n’auront tous qu’un seul roi ; ils ne formeront plus deux nations ; ils ne seront plus divisés en deux royaumes. Ils ne se rendront plus impurs avec leurs idoles immondes et leurs horreurs, avec toutes leurs révoltes. Je les sauverai en les retirant de tous les lieux où ils habitent et où ils ont péché, je les purifierai.
Alors ils seront mon peuple, et moi je serai leur Dieu. Mon serviteur David régnera sur eux ; ils n’auront tous qu’un seul berger ; ils marcheront selon mes ordonnances, ils garderont mes décrets et les mettront en pratique. Ils habiteront le pays que j’ai donné à mon serviteur Jacob, le pays que leurs pères ont habité. Ils l’habiteront, eux-mêmes et leurs fils, et les fils de leurs fils pour toujours. David, mon serviteur, sera leur prince pour toujours.
Je conclurai avec eux une alliance de paix, une alliance éternelle. Je les rétablirai, je les multiplierai, je mettrai mon sanctuaire au milieu d’eux pour toujours. Ma demeure sera chez eux, je serai leur Dieu et ils seront mon peuple.
Alors les nations sauront que Je suis le Seigneur, celui qui sanctifie Israël, lorsque mon sanctuaire sera au milieu d’eux pour toujours. »
Parole du Seigneur.
III. La Réponse
Notre Père
Je vous salue Marie
Gloire au Père
« Le Seigneur est avec moi, tel un guerrier redoutable » (Jr 20, 10-13)
Moi, Jérémie, j’entends les calomnies de la foule : « Dénoncez-le ! Allons le dénoncer, celui-là, l’Épouvante-de-tous-côtés. » Tous mes amis guettent mes faux pas, ils disent : « Peut-être se laissera-t-il séduire… Nous réussirons, et nous prendrons sur lui notre revanche ! »
Mais le Seigneur est avec moi, tel un guerrier redoutable : mes persécuteurs trébucheront, ils ne réussiront pas. Leur défaite les couvrira de honte, d’une confusion éternelle, inoubliable.
Seigneur de l’univers, toi qui scrutes l’homme juste, toi qui vois les reins et les cœurs, fais-moi voir la revanche que tu leur infligeras, car c’est à toi que j’ai remis ma cause.
Chantez le Seigneur, louez le Seigneur : il a délivré le malheureux de la main des méchants.
Parole du Seigneur.
III. La Réponse
Notre Père
Je vous salue Marie
Gloire au Père
« Me voici, je suis venu, mon Dieu, pour faire ta volonté, ainsi qu’il est écrit de moi dans le Livre » (He 10, 4-10)
Frères, il est impossible que du sang de taureaux et de boucs enlève les péchés. Aussi, en entrant dans le monde, le Christ dit : Tu n’as voulu ni sacrifice ni offrande, mais tu m’as formé un corps. Tu n’as pas agréé les holocaustes ni les sacrifices pour le péché ; alors, j’ai dit : Me voici, je suis venu, mon Dieu, pour faire ta volonté, ainsi qu’il est écrit de moi dans le Livre.
Le Christ commence donc par dire : Tu n’as pas voulu ni agréé les sacrifices et les offrandes, les holocaustes et les sacrifices pour le péché, ceux que la Loi prescrit d’offrir. Puis il déclare : Me voici, je suis venu pour faire ta volonté. Ainsi, il supprime le premier état de choses pour établir le second. Et c’est grâce à cette volonté que nous sommes sanctifiés, par l’offrande que Jésus Christ a faite de son corps, une fois pour toutes.
Parole du Seigneur.
III. La Réponse
Notre Père
Je vous salue Marie
Gloire au Père
« Dieu a envoyé son ange et délivré ses serviteurs » (Dn 3, 14-20.91-92.95)
En ces jours-là, le roi Nabucodonosor parla ainsi : « Est-il vrai, Sidrac, Misac et Abdénago, que vous refusez de servir mes dieux et d’adorer la statue d’or que j’ai fait ériger ? Êtes-vous prêts, maintenant, à vous prosterner pour adorer la statue que j’ai faite, quand vous entendrez le son du cor, de la flûte, de la cithare, de la harpe, de la lyre, de la cornemuse et de toutes les sortes d’instruments ? Si vous n’adorez pas cette statue, vous serez immédiatement jetés dans la fournaise de feu ardent ; et quel est le dieu qui vous délivrera de ma main ? » Sidrac, Misac et Abdénago dirent au roi Nabucodonosor : « Ce n’est pas à nous de te répondre. Si notre Dieu, que nous servons, peut nous délivrer, il nous délivrera de la fournaise de feu ardent et de ta main, ô roi. Et même s’il ne le fait pas, sois-en bien sûr, ô roi : nous ne servirons pas tes dieux, nous n’adorerons pas la statue d’or que tu as érigée. »
Alors Nabucodonosor fut rempli de fureur contre Sidrac, Misac et Abdénago, et son visage s’altéra. Il ordonna de chauffer la fournaise sept fois plus qu’à l’ordinaire. Puis il ordonna aux plus vigoureux de ses soldats de ligoter Sidrac, Misac et Abdénago et de les jeter dans la fournaise de feu ardent.
Le roi Nabucodonosor les entendit chanter. Stupéfait, il se leva précipitamment et dit à ses conseillers : « Nous avons bien jeté trois hommes, ligotés, au milieu du feu ? » Ils répondirent : « Assurément, ô roi. » Il reprit : « Eh bien moi, je vois quatre hommes qui se promènent librement au milieu du feu, ils sont parfaitement indemnes, et le quatrième ressemble à un être divin. » Et Nabucodonosor s’écria : « Béni soit le Dieu de Sidrac, Misac et Abdénago, qui a envoyé son ange et délivré ses serviteurs ! Ils ont mis leur confiance en lui, et ils ont désobéi à l’ordre du roi ; ils ont livré leur corps plutôt que de servir et d’adorer un autre dieu que leur Dieu. »
Parole du Seigneur.
III. La Réponse
Notre Père
Je vous salue Marie
Gloire au Père
« Tous ceux qui auront été mordus, qu’ils regardent le serpent, alors ils vivront ! » (Nb 21, 4-9)
En ces jours-là, les Hébreux quittèrent Hor-la-Montagne par la route de la mer des Roseaux en contournant le pays d’Édom. Mais en chemin, le peuple perdit courage. Il récrimina contre Dieu et contre Moïse : « Pourquoi nous avoir fait monter d’Égypte ? Était-ce pour nous faire mourir dans le désert, où il n’y a ni pain ni eau ? Nous sommes dégoûtés de cette nourriture misérable ! » Alors le Seigneur envoya contre le peuple des serpents à la morsure brûlante, et beaucoup en moururent dans le peuple d’Israël. Le peuple vint vers Moïse et dit : « Nous avons péché, en récriminant contre le Seigneur et contre toi. Intercède auprès du Seigneur pour qu’il éloigne de nous les serpents. » Moïse intercéda pour le peuple, et le Seigneur dit à Moïse : « Fais-toi un serpent brûlant, et dresse-le au sommet d’un mât : tous ceux qui auront été mordus, qu’ils le regardent, alors ils vivront ! » Moïse fit un serpent de bronze et le dressa au sommet du mât. Quand un homme était mordu par un serpent, et qu’il regardait vers le serpent de bronze, il restait en vie !
Parole du Seigneur.
III. La Réponse
Notre Père
Je vous salue Marie
Gloire au Père
« Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter une pierre » (Jn 8, 1-11)
En ce temps-là, Jésus s’en alla au mont des Oliviers. Dès l’aurore, il retourna au Temple. Comme tout le peuple venait à lui, il s’assit et se mit à enseigner. Les scribes et les pharisiens lui amènent une femme qu’on avait surprise en situation d’adultère. Ils la mettent au milieu, et disent à Jésus : « Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère. Or, dans la Loi, Moïse nous a ordonné de lapider ces femmes-là. Et toi, que dis-tu ? » Ils parlaient ainsi pour le mettre à l’épreuve, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus s’était baissé et, du doigt, il écrivait sur la terre. Comme on persistait à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter une pierre. » Il se baissa de nouveau et il écrivait sur la terre. Eux, après avoir entendu cela, s’en allaient un par un, en commençant par les plus âgés. Jésus resta seul avec la femme toujours là au milieu. Il se redressa et lui demanda : « Femme, où sont-ils donc ? Personne ne t’a condamnée ? » Elle répondit : « Personne, Seigneur. » Et Jésus lui dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus. »
Acclamons la Parole de Dieu.
Trois étapes principales de lecture de la Parole de Dieu :
III. La Réponse
Notre Père
Je vous salue Marie
Gloire au Père
Lecture du livre du prophète Jérémie (31, 31-34)
Voici venir des jours – oracle du Seigneur –, où je conclurai avec la maison d’Israël et avec la maison de Juda une alliance nouvelle. Ce ne sera pas comme l’alliance que j’ai conclue avec leurs pères, le jour où je les ai pris par la main pour les faire sortir du pays d’Égypte : mon alliance, c’est eux qui l’ont rompue, alors que moi, j’étais leur maître – oracle du Seigneur.
Lecture du deuxième livre des Chroniques (36, 14-16. 19-23)
En ces jours-là, tous les chefs des prêtres et du peuple multipliaient les infidélités, en imitant toutes les abominations des nations païennes, et ils profanaient la Maison que le Seigneur avait consacrée à Jérusalem. Le Seigneur, le Dieu de leurs pères, sans attendre et sans se lasser, leur envoyait des messagers, car il avait pitié de son peuple et de sa Demeure.
Présentation du thème
Elle a été particulièrement réservée à notre époque
Dieu a permis que l’ancien Joseph, fils du patriarche Jacob, soit renfermé assez longtemps dans une sombre prison, mais pour en sortir avec plein de gloire. Telle a été, en quelque sorte, la conduite de la divine providence à l’égard du Père nourricier de Jésus. Pendant plusieurs siècles, la dévotion à Saint Joseph a été peu connue dans le christianisme. Aujourd’hui, son culte se développe, s’épanouit, se propage rapidement, et promet d’abondantes bénédictions.
Cette juste glorification de l’époux de Marie est partout accueillie avec allégresse, et notre siècle, quoique plongé dans l’indifférence et le sensualisme, devient de plus en plus, le siècle de Marie et de Joseph.
Bénissons Dieu, âme chrétienne, de cette extension providentielle du culte de notre bien-aimé patron, et tâchons de propager autour de nous sa dévotion. Oui, soyons à l’avenir de fervents serviteurs et des apôtres zélés de Saint Joseph. Faire connaître et aimer le père nourricier de Jésus, l’époux de Marie, le patron de l’Eglise universelle, quelle joie pendant la vie, et quelle consolation à l’heure de la mort !
Elle répond admirablement aux besoins de notre époque
Quelle dévotion convenait mieux que celle de Saint Joseph à l’époque agitée et profondément troublée dans laquelle nous vivons ?
La dévotion à Saint Joseph est l’un des remèdes les plus efficaces à ces trois plaies. Aux chefs de famille qui ont laissé tomber de leurs mains le sceptre de l’autorité, et aux enfants qui secouent le joug paternel, nous montrons Saint Joseph le modèle des pères de famille, et Jésus toujours soumis à ses ordres.
Puisque la dévotion à ce grand saint est si appropriée à nos besoins, et puisque Dieu a constitué Joseph le Maître de sa maison, comme il avait autrefois établi l’ancien patriarche sur toute la terre d’Egypte, afin d’assurer des vivres à son peuple, imitons les enfants de Jacob et si nous ne voulons pas mourir allons à Joseph. Une grande famine mine notre terre. La nourriture qui fait défaut n’est pas seulement le pain qui soutient le corps, c’est surtout le pain vivant qui nourrit les âmes, c’est la vérité qui éclaire, c’est la grâce qui sanctifie. Oui, allons à Joseph, il nous donnera Jésus-Christ, ce froment des élus, le pain sacré des voyageurs.
Intentions personnelles
Prière
Oui Glorieux patriarche, nous comprenons que notre siècle a besoin de votre protection pour guérir de son mal et opérer son salut. Nous vous aimerons donc plus ardemment Saint Joseph, nous vous prierons avec plus de confiance et nous enseignerons aux autres à vous aimer et à vous prier. Veuillez, en retour, nous bénir tous, ô notre bien-aimé patron ! Amen
Souvenez-vous
Souvenez-vous ô glorieux Saint Joseph, modèle et Saint patron des amis du Sacré cœur, qu’on n’a jamais entendu dire qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection, sollicité votre secours et imploré votre suffrage, ait été abandonné. Animé d’une pareille confiance, ô chaste époux de Marie, ô tendre Père, nous venons à vous et gémissant sous le poids de nos péchés, nous nous prosternons à vos pieds. Ô juste Joseph, Père nourricier du Verbe fait homme pour nous ne méprisez pas nos prières mais écoutez-les favorablement et daignez les exaucer. Amen !
Je vous salue, Joseph,
Vous que la grâce divine a comblé.
Le sauveur a reposé entre vos bras et grandi sous vos yeux.
Vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus,
L’enfant divin de votre virginale épouse est béni.
Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu,
Priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé et de travail, jusqu’à nos derniers jours,
Et daignez nous secourir à l’heure de notre mort.
Amen.
Présentation du thème
Modèle d’humilité
Comme tous les jeunes en âge de se marier, Joseph accepte de prendre Marie comme fiancée dans le respect de la tradition juive. Marie vit chez elle avec ses parents et Joseph chez lui dans l’attente de leur mariage. Il continue son travail de charpentier pendant cette période. Jamais il n’oblige sa fiancée de se plier à ses désirs humains. Il n’expose pas sa fiancée. Il reste persuadé que ce choix lui a été accordé par Dieu parce qu’il croit en Dieu.
De nos jours, nous nous vantons de nos choix et croyons que tout nous est permis. Nous n’y accordons aucun respect parce que nous sommes sûrs de nous. « Je suis belle » ou « je suis beau », « j’ai une bonne situation sociale », « j’ai les moyens pour organiser… », « avec mon diplôme ou mon expérience, ce poste ne peut pas m’échapper », « aucun souci, mes parents ont déjà tout réglé », etc.
Ce sont en substance nos discours devant des choix, des tâches, des défis ou autres compétitions. Or bien qu’il soit de la lignée du roi David, notre Patriarche Joseph, ne s’en est pas glorifié. Il est resté silencieux, priant et confiant son futur foyer et leur avenir à la grâce divine.
Modèle de foi
Saint Joseph avait la piété d’Abel, la sagesse de Tobie, la chasteté de Joseph, fils de Jacob, la fermeté de Daniel. Les plaisirs les plus attirants de son temps le trouvaient insensible. Malgré le sang royal qu’il portait, il n’a pas cherché à faire une carrière lucrative et honorable aux yeux du monde. Il resta en tout, humble accomplissant avec cette simple activité professionnelle tous ses devoirs envers Dieu et envers son prochain. Vraiment, la grâce coulait en abondance dans l’âme de Joseph. Ainsi, il a pu discerner le Message du Seigneur, par la voix de l’ange : « Joseph, ne craint pas de prendre Marie comme épouse… ».
Quelle leçon pour nous chrétiens d’aujourd’hui ? Regardons les jeunes gens qui, se laissant emporter par les attraits de la volupté consument dans le libertinage leurs plus beaux jours, tout en ne réservant pour Dieu que le reste d’une vie qui s’éteint. Quelle folie ! quel aveuglement !
Parents chrétiens de Bezons, le patriarche Joseph nous ouvre ses bras. Mettons nos enfants sous sa protection, lui à qui le Père Céleste a confié la garde de son Divin Fils, notre Sauveur. Recommandons-lui leur enfance, leur adolescence, leur jeunesse et surtout leur innocence et leurs faiblesses, leur vocation et tous leurs intérêts. Alors ils croitront comme lui en piété et en sagesse devant Dieu et devant les hommes.
Intentions personnelles
Prière
Saint Joseph, devant le mystère de l’Annonciation, tu te mets à l’école de l’acceptation d’une solitude humaine totale pour vivre finalement avec MARIE. Aide-nous dans nos familles à triompher dans le silence, de toute révolte, de tout divorce et de toute séparation. A comprendre combien il est important de ne pas rompre des liens affectifs et conjugaux quand une difficulté, une déception, un sentiment de solitude nous envahit. Car au-delà de la souffrance, se présente à nous bien souvent le choix entre l’humilité et l’orgueil ; le choix entre l’amour et la haine ; le choix entre la vie et la mort.
Accorde aux jeunes d’imiter les vertus que tu as pratiquées dans ton enfance et dans ta jeunesse. Qu’ils apprennent à soumettre à la divine volonté les choix et engagements qui jalonneront leur vie. Que l’Esprit Saint les guide tout au long de leur vie.
Je te prie pour tous les époux, afin qu’ils demeurent fidèles aux engagements pris dans le mariage et que, dans la compréhension et le soutien mutuels, ils puissent conduire convenablement leur mission.
Avec Joseph, modèle d’humilité, Seigneur, je t’en prie : aide-moi à comprendre combien la vie chrétienne n’est rien d’autre que l’amour de Dieu et du prochain.
Apprends-moi à faire en moi-même un peu de silence. Que par ton intercession j’obtienne cette belle vertu qui consiste à savoir se taire et écouter. Amen
Souvenez-vous
Souvenez-vous ô glorieux Saint Joseph, modèle et Saint patron des amis du Sacré cœur, qu’on n’a jamais entendu dire qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection, sollicité votre secours et imploré votre suffrage, ait été abandonné. Animé d’une pareille confiance, ô chaste époux de Marie, ô tendre Père, nous venons à vous et gémissant sous le poids de nos péchés, nous nous prosternons à vos pieds. Ô juste Joseph, Père nourricier du Verbe fait homme pour nous ne méprisez pas nos prières mais écoutez-les favorablement et daignez les exaucer. Amen !
Je vous salue, Joseph,
Vous que la grâce divine a comblé.
Le sauveur a reposé entre vos bras et grandi sous vos yeux.
Vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus,
L’enfant divin de votre virginale épouse est béni.
Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu,
Priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé et de travail, jusqu’à nos derniers jours,
Et daignez nous secourir à l’heure de notre mort.
Amen.
Présentation du thème
Ses peines extérieures
Les justes doivent avoir leur martyr, c’est le grand apôtre qui l’affirme : « tous ceux, dit-il, qui veulent vivre dans la piété en union avec Jésus-Christ, souffriront la persécution. »
Saint Joseph a été, après Marie, le plus éprouvé de tous les Saints. Contemplez-le dans les diverses situations de sa vie, à Nazareth, à Bethléem, en Egypte. Vous verrez que partout et toujours il a eu à supporter la pauvreté toute sa vie, les rigueurs des saisons, de longs et pénibles voyages, la persécution, un dur et cruel exil, les mépris, les insultes, l’injustice et l’ingratitude des hommes. Jésus, qui affectionnait tendrement son Père nourricier, le fit participer au calice de ses souffrances durant toute sa vie, pour l’associer au grand mystère de la Rédemption. Saint Joseph a donc été le premier confesseur et le premier martyr de Notre Seigneur Jésus-Christ. Cependant au milieu de toutes ces épreuves, quelle résignation, quelle patience inaltérable ! Jamais un mot de plainte, jamais une pensée de découragement. La croix a toujours été et sera toujours l’étendard royal que suivent les élus. Courage donc, âme souffrante ! Jésus marche le premier. Marie et Joseph nous tendent la main, les saints nous pressent d’avancer, les anges écrivent nos blessures. Joseph ! Obtenez-nous la grâce de semer comme vous dans les pleurs, pour qu’il nous soit donné de moissonner un jour dans l’allégresse.
Ses peines intérieures
Les peines intérieures qu’essuya Joseph dans son esprit et dans son cœur furent encore plus déchirantes. D’abord quelles terribles douleurs eut à souffrir son âme si pure et si sainte, au sujet du grand mystère qui s’était opéré en Marie et dont il ignorait la cause toute miraculeuse ! Quel combat douloureux formaient dans son esprit, d’un côté, la vue d’un spectacle le plus inattendu pour lui, de l’autre l’estime si grande qu’il avait pour sa chère épouse, toujours vierge à ses yeux ! Mon Dieu ! Quelle épreuve ! Mais en voici une autre plus douloureuse encore et plus longue. Joseph savait par la lecture des Livres Saints, et par la prophétie du vieillard Siméon, que Jésus, son fils adoptif, devait être mis à mort. Cette pensée cruelle était un glaive de douleur continuellement enfoncé dans son cœur, un martyr de tous les jours et de tous les instants, que tout renouvelait. Seul, son amour pouvait le supporter. Pécheurs, que de tourments nos crimes ont coûté à Saint Joseph et à la Vierge Marie !
Âme chrétienne, vous avez aussi des peines intérieures, peines secrètes mais déchirantes, que le monde ne voit pas, ne comprend pas, et qu’il est impuissant à soulager. Venez épancher votre cœur dans celui de votre saint patron, venez pleurer à ses pieds. Il saura compatir à vos maux et sécher vos larmes, lui qui a passé par toutes les épreuves.
Intentions personnelles
Prière
Vous souffrez, Joseph ! Vous qui vivez dans l’innocence, et moi, si souvent infidèle, je ne voudrais rien souffrir. Vous souffrez, mais avec paix et soumission, et moi je m’impatiente à la moindre épreuve. Modèle admirable de résignation ! Obtenez-moi, je vous en prie, la grâce de supporter patiemment tout ce qui est pour moi un sujet d’ennui, de peine et de fatigue. Amen !
Souvenez-vous
Souvenez-vous ô glorieux Saint Joseph, modèle et Saint patron des amis du Sacré cœur, qu’on n’a jamais entendu dire qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection, sollicité votre secours et imploré votre suffrage, ait été abandonné. Animé d’une pareille confiance, ô chaste époux de Marie, ô tendre Père, nous venons à vous et gémissant sous le poids de nos péchés, nous nous prosternons à vos pieds. Ô juste Joseph, Père nourricier du Verbe fait homme pour nous ne méprisez pas nos prières mais écoutez-les favorablement et daignez les exaucer. Amen !
Je vous salue, Joseph,
Vous que la grâce divine a comblé.
Le sauveur a reposé entre vos bras et grandi sous vos yeux.
Vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus,
L’enfant divin de votre virginale épouse est béni.
Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu,
Priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé et de travail, jusqu’à nos derniers jours,
Et daignez nous secourir à l’heure de notre mort.
Amen.
Présentation du thème
Prière vocale
Saint Joseph fut un parfait modèle de prière vocale, car il en comprenait l’importance et tous les avantages. Il commençait et sanctifiait ses journées, ses actions, ses voyages, par ce saint exercice. Il les finissait de la même manière. Il priait avec le recueillement le plus profond et avec une ferveur angélique. Il priait aussi avec Jésus et Marie le matin et le soir à Nazareth. Que j’aime à contempler cette trinité sacrée de la terre, prosternée en adoration devant la Trinité du ciel ! O Joseph ! Que mes humbles supplications s’unissent comme les vôtres à celles de Jésus et de Marie !
Priez aussi sans interruption, âme chrétienne, c’est le précepte du divin Maître. Si vous le pouvez, établissez dans votre maison le saint usage de la prière en commun, au moins le soir. On ne saurait dire quels avantages peuvent retirer les familles de cette pieuse habitude. Il en reste une impression ineffaçable dans l’esprit et le cœur des enfants, et les parents en reçoivent les bénédictions les plus abondantes. Notre Seigneur n’a-t-il pas dit : « Si deux ou trois d’entre vous s’unissent sur la terre, tout ce qu’ils auront demandé leur sera accordé par mon Père qui est dans les cieux ! » Que cette promesse est consolante ! O Jésus ! O Joseph ! Apprenez-nous donc à prier.
Prière mentale
L’époux de Marie est honoré à juste titre comme le père et le modèle des âmes contemplatives. Saint Bernardin de Sienne affirme qu’il avait reçu le don d’oraison au plus haut degré. L’Eglise invoque Saint Joseph comme très profond en contemplation. Son esprit et son cœur étaient habituellement absorbés en Dieu. Sa vie fut une oraison continuelle. La méditation de Joseph n’était pas interrompue par l’action. Il travaillait, voyageait, prenait ses repas, toujours uni à Dieu, ou en contemplant Jésus et Marie.
Prenez la résolution, âme chrétienne, de faire un peu de méditation chaque jour. C’est un moyen de salut très efficace.
O Saint Joseph, obtenez-moi la grâce de vous imiter dans votre Amour pour l’oraison et dans votre fidélité à la pratiquer.
Intentions personnelles
Prière
O Saint Joseph ! Daignez permettre que je m’unisse en ce moment à la prière que vous faisiez en commun à Nazareth avec Jésus et Marie Ce tableau ravit mon imagination et émeut doucement mon cœur. Faites que je prie comme vous avec foi, humilité et persévérance. Faites aussi que je prie en union avec Jésus et Marie. Amen !
Souvenez-vous
Souvenez-vous ô glorieux Saint Joseph, modèle et Saint patron des amis du Sacré cœur, qu’on n’a jamais entendu dire qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection, sollicité votre secours et imploré votre suffrage, ait été abandonné. Animé d’une pareille confiance, ô chaste époux de Marie, ô tendre Père, nous venons à vous et gémissant sous le poids de nos péchés, nous nous prosternons à vos pieds. Ô juste Joseph, Père nourricier du Verbe fait homme pour nous ne méprisez pas nos prières mais écoutez-les favorablement et daignez les exaucer. Amen !
Je vous salue, Joseph,
Vous que la grâce divine a comblé.
Le sauveur a reposé entre vos bras et grandi sous vos yeux.
Vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus,
L’enfant divin de votre virginale épouse est béni.
Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu,
Priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé et de travail, jusqu’à nos derniers jours,
Et daignez nous secourir à l’heure de notre mort.
Amen.
Présentation du thème
La perfection de sa chasteté
Après Marie, la plus pure des créatures, le plus chaste des hommes a été Saint Joseph. Saint Thomas enseigne que Dieu l’ayant prévenu des bénédictions de sa grâce, en le sanctifiant avant sa naissance, avait éteint en lui tout désir charnel, toute révolte des sens, pour faire de lui un ange dans la chair.
Sainte Thérèse dit de lui : « Tout en lui était virginal et angélique : aussi les anges lui apparaissaient-ils pour lui révéler les secrets du ciel ».
De toutes les vertus, la plus belle est la pureté. Elle élève l’homme en le faisant participer en quelque sorte à la nature angélique.
O Saint Joseph faites fleurir en moi cette vertu angélique, écartez tout ce qui pourrait y porter la moindre atteinte. Je veux, pour la conserver, vous aimer, veiller et prier.
La récompense de sa chasteté
La virginité de Joseph fut admirablement récompensée. C’est parce qu’il mérita de devenir l’époux de Marie, car, si le Seigneur ne voulut confier, avant sa mort, sa Mère qu’à un disciple vierge, à bien plus forte raison ne l’a-t-il confiée à un époux vierge. Ce n’était pas assez : la virginité de Saint Joseph le rendit Père adoptif de Notre Seigneur. Bienheureuse donc la virginité de Saint Joseph, qui a pu lui permettre de dire au Fils de l’Eternel : « Vous êtes mon fils ! » et à la Mère de Dieu : « Vous êtes mon épouse ! ».
Si à l’exemple de Joseph, vous pratiquez la pureté, vous aurez, comme lui, âme chrétienne, les faveurs de Jésus et de Marie. Oh quelle est belle et heureuse la génération des âmes pures.
Intentions personnelles
Prière
O Saint Joseph ! Je comprends maintenant pourquoi on vous représente un lis à la main : c’est votre inviolable pureté qui est symbolisée par cette blanche fleur. Touchez-moi de ce lis si pur qui exhale le parfum de la virginité, je serai embrasé du divin amour. Alors il me sera donné, après vous avoir imité la sainteté de votre cœur sur la terre, de voir et de posséder à jamais avec vous, dans le ciel, le Dieu de toute pureté. Amen !
Souvenez-vous
Souvenez-vous ô glorieux Saint Joseph, modèle et Saint patron des amis du Sacré cœur, qu’on n’a jamais entendu dire qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection, sollicité votre secours et imploré votre suffrage, ait été abandonné. Animé d’une pareille confiance, ô chaste époux de Marie, ô tendre Père, nous venons à vous et gémissant sous le poids de nos péchés, nous nous prosternons à vos pieds. Ô juste Joseph, Père nourricier du Verbe fait homme pour nous ne méprisez pas nos prières mais écoutez-les favorablement et daignez les exaucer. Amen !
Je vous salue, Joseph,
Vous que la grâce divine a comblé.
Le sauveur a reposé entre vos bras et grandi sous vos yeux.
Vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus,
L’enfant divin de votre virginale épouse est béni.
Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu,
Priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé et de travail, jusqu’à nos derniers jours,
Et daignez nous secourir à l’heure de notre mort.
Amen.
Présentation du thème
Il travaillait pour Jésus et Marie
Dépourvu de toute grandeur et de toute fortune, obligé de nourrir la Sainte Famille dont il était le chef, Joseph se livrait à un travail pénible et continuel : il était charpentier. Ce fils de David passait sa vie, la scie et le marteau à la main, travaillant depuis les premières lueurs du jour, jusqu’aux plus épaisses ténèbres de la nuit, pour le service du Verbe incarné et pour la Reine du ciel : oui, le voilà tel que j’aime le voir. Cette mission paraît humble aux yeux des hommes, mais qu’elle est grande aux yeux de Dieu. Les hommes ne jugent que par ce qu’ils voient, mais Dieu regarde le cœur. Bienheureuses, les mains qui vous ont nourri, vous et votre Sainte Mère, pendant si longtemps et au prix d’un travail si pénible et si long !
Travailleurs de toutes sortes, qui êtes et serez toujours, les plus nombreux de ce monde, ouvriers et ouvrières les plus humbles ! Vous ne douterez pas que le travail, si obscur qu’il soit, honore celui qui s’y soumet, qu’il fait toujours la gloire de l’homme et de la famille ! Depuis que Jésus et Joseph ont dû vivre du fruit de leurs sueurs, aucune condition n’est préférable à celle de l’artisan chrétien.
Il travaillait avec Jésus et Marie
Dans son pauvre atelier, Joseph élève un Apprenti docile qui, durcissant lui aussi ses tendres mains contre le fer et le bois, honore l’état de charpentier. L’Enfant-Jésus était l’Apprenti du Saint Patriarche. Il l’aidait de plus en plus, à mesure qu’il avançait en âge. Figurons-nous quel amour brûlait dans le cœur de Joseph lorsqu’il voyait son divin maître le servir comme simple ouvrier.
Et Marie, que fait - elle ? Comme la femme forte dont parle l’Ecriture, elle partage son temps entre les soins du ménage et les travaux manuels.
Dans la compagnie intime de Jésus et de Marie travaillant avec lui, comment aurait-il pu ne pas imprimer à chacun de ses actes le cachet de la perfection.
Âme chrétienne, travaillons aussi avec Jésus. Tout pour lui, en lui et avec lui. Souvenons-nous bien que si notre travail ne tend pas vers Dieu par une intention pure et droite, il sera stérile pour l’éternité. Nous aurons semé et nous ne moissonnerons pas. Mais si au contraire, nous travaillons comme Joseph, sous le regard de Jésus et de Marie, notre travail n’aura pour nous ni ennui ni fatigue. Chacune de nos sueurs ajoutera un fleuron à notre couronne dans le ciel.
Intentions personnelles
Prière
Saint artisan de Nazareth ! Si petit aux yeux des hommes, mais si grand devant Dieu, obtenez-nous la grâce de sanctifier notre travail comme vous par l’esprit de foi, de piété et d’amour. Faîtes que chacune de nos actions, accomplie sous le regard de Dieu, nous mérite un surcroît de grâces en ce monde et un degré de gloire de plus au ciel. Amen !
Souvenez-vous
Souvenez-vous ô glorieux Saint Joseph, modèle et Saint patron des amis du Sacré cœur, qu’on n’a jamais entendu dire qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection, sollicité votre secours et imploré votre suffrage, ait été abandonné. Animé d’une pareille confiance, ô chaste époux de Marie, ô tendre Père, nous venons à vous et gémissant sous le poids de nos péchés, nous nous prosternons à vos pieds. Ô juste Joseph, Père nourricier du Verbe fait homme pour nous ne méprisez pas nos prières mais écoutez-les favorablement et daignez les exaucer. Amen !
Je vous salue, Joseph,
Vous que la grâce divine a comblé.
Le sauveur a reposé entre vos bras et grandi sous vos yeux.
Vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus,
L’enfant divin de votre virginale épouse est béni.
Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu,
Priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé et de travail, jusqu’à nos derniers jours,
Et daignez nous secourir à l’heure de notre mort.
Amen.
La paroisse Saint-Martin de Bezons a été construite à la rue Edouard Vaillant en 1937 - 1938. Tous les fidèles, un peu plus de 400, se retrouvent à la paroisse Saint-Martin, la seule sur la Commune de Bezons. Saint-Martin de Bezons fait partie du doyenné d'Argenteuil. Le Curé de la paroisse est le Père Florent ANOI